Un patient souffrant de la maladie de Lyme depuis 21 ans a ressenti en moyenne  une diminution de 56 % de ses symptômes après l'utilisation du Samento durant 45 jours

C.M.

Homme, 52 ans

Sacramento, Californie

Mon expérience avec la maladie de Lyme a été longue et terrifiante. L'infection au Bb a pratiquement a été étalé sur toute ma vie. Cette infection a commencé en février 1983. J'avais la paralysie de la cloche sur tout mon côté droit. Je me rappelle de ma femme déclarant qu'elle avait peur de m'embrasser parce que mon oeil semblait cadavéreux, mort et sans lumière. Je travaillais en tant que jardinier sur un grande propriété d’Hillsboro, en Californie. Plus tard, j’ai pu retrouver le rétablissement partiel de mes membres.

Il a fallu cinq ans pour que l’infection du Lyme soit vraiment actif. À ce moment-là, c’était comme si ma mémoire  prenait des vacances instantanés et intempestifs. J'ai perdu mon travail comme mécanicien sur des tracteurs chez la compagnie J.I. Case parce que je ne pouvais plus me rappeler comment je faisais mon travail.

Ma personnalité a commencé à changer. Je me contentais de sortir et de travailler. J'étais toujours épuisé, indolent et mentalement absent. Je savais que mon QI avait plongé. Je perdis mon acuité mentale. J’étais perplexe. Finalement ma femme me quitta.

A la fin de l’année 1989, après avoir fait plusieurs differents petits boulots,  j’étais trop malade pour travailler. J'étais faible et effrayé. J'étais un simple père élevant ses deux filles. Après la visite de beaucoup de docteurs et des tests de laboratoire, je suis allé à la Sécurité sociale spécifique pour les personnes atteintes d’incapacité. Mon docteur me disais que j'avais le Syndrome de Fatigue Chronique, mais n’arrivais pas à trouver la cause. On était à ce jour au milieu de l’année 1990.

Je me sentais si étrange, comme si mon sang était empoisonné. La fatigue était harassante. Mon esprit était tel un brouillard. C'était difficile de faire une déclaration lorsque je n’avais pas un pense-bête devant moi, parce que quelque part au milieu de l'entretien j'oubliais ce que j'essayais de dire. C'était embarrassant. Il y avait beaucoup de jours où  j'avais la sensation étrange et indescriptible d’avoir des germes rampant sous ma peau.

Je pense que mes enfants avaient honte de moi. Nous étions pauvres et leurs papa se comportait curieusement. Ils ont déménagé aussitôt l’âge de 18.ans.

En 1997, je me suis rendu aux fins fonds des Montagnes Sierra dans la Vallée d'Herbe aux Etats-Unis et ai loué une petite cabine sur une propriété. À la fin de l’année de 1998, j'ai commencé à voir un docteur qui se consacrait uniquement  aux personnes atteintes de maladie chronique. J’étais mort physiquement. Mentalement, j'étais craintif et alarmiste. J'étais dans un état constant de stress, ne dormant qu’en moyenne que quatre heures par nuit. Je commençais à remarquer que les gens voulaient profiter de moi parce que je ne pouvais plus me rappeler des choses. J'étais devenu émotionellement et physiquement faible,  et mon esprit était devenu morne à tel point que je ne pouvais plus continuer à tenir une conversation intelligente.

Il y a une nature cyclique à l'infection du Lyme. Il y avait des jours où je me sentais mieux. Je sortais et travaillais dans mon jardin, je faisais des travaux sur mon camion ou allais au marché pour acheter quelques petites bricoles. Mes voisins remarquaient ces changements intempestifs et commencaient à penser que j'étais un simulateur. Les gens ont commencé à me traiter comme si j’étais  un pestiféré, pensant que je truquais la maladie pour éviter de travailler. À ce jour je dois toujours faire face à ce genre de problèmes. Mon nouveau docteur a constaté une paralysie de Cloche bilatérale. Il me disais :"je parierais avec  vous que vous avez la maladie Lyme. J'exécuterai des tests qui nous permettront de touver la maladie d'une façon ou d'une autre. "Finalement en mars 1999, les résultats du troisième test me sont revenus comme fortement positif au Bb. C’était un test antigène urinaire du Lyme faite par les Laboratoires IGENEX à Palo Alto en Californie. Mon docteur me disais :"c'est le taux d’infection le plus haut que j'ai jamais vu dans ce bureau jusqu'ici".

Ainsi, j’étais mal diagnostiqué de 1983 jusqu'à 1999. Les bactéries avaient fait beaucoup de dégâts au cours de cette longue période. Mon docteur m’a dit de par son expérience avec beaucoup de patients qu'il n’était pas recommandable de commencer une thérapie faites d’antibiotiques pour lutter contre cette infection. Mais il n’a cependant pas écarter cette option. Ouais! Retour en 1983, le docteur qui m’a paralysé avait fait un test sanguin standard du Lyme qui était soi-disant négatif.

J'ai commencé à suivre une association de soutien pour les malades de la Lyme. J'ai commencé à étudier le Bb et j’en ai appris un tout petit peu plus sur cette maladie. Après avoir observé au microscope électronique des photographies de spirochete qui montraient des cloques hors des appendices, des images d’eux remuant dans un leucocyte et se couchant à l’aide de leurs protéines, les différentes formes et comportement de ces bactéries ont causé  chez moi une réaction qui s’apparente à la crainte et au dégoût. Je n'ai plus jamais voulu revoir ces images.

J'ai changé radicalement mon régime, la plupart de mes produits alimentaires surtout organiques et les formes bio-actives de protéine de lait. J'ai acheté une centrifugeuse électrique de blé et ai cultivé mon propre blé et de l’orge. Je buvais quatre fois par jour. J'ai utilisé des extraits de champignon, de colostrum, de sélénium, de beta-glucan et d’Echinacea. La liste est longue. Je me suis senti mieux intérieurement mais les symptômes ont persisté. J'avais les spirochetes Borrelia les plus sains sur des kilomètres à la ronde.

À cause d'une lésion dans la colonne vertébrale j'ai dû subir une douleur associée à celle de la Lyme, j'ai commencé à utiliser de l’Oxycontine. C'était mon médecin spécialiste contre la douleur qui m'a d'abord parlé du Samento. Je lui ai dit que j’étais à la dernière étape de la maladie de Lyme (il connaissait très peu la maladie). Je lui ai même donné un résumé sur la Lyme appelé "les Manifestations Neuropsychiatriques de la Lyme Borreliosis" par Brian A. Fallon.

J'ai senti que mon docteur spécialiste en douleur pensait que j'étais juste un cas mental. Je ne sais pas s'il a seulement une seule fois lu le résumé. Mais quelquefois en novembre ou décembre 2003, il suivait un séminaire où il écoutait plusieurs présentations sur la maladie de Lyme et ses diverses et nombreuses manifestations.

Le jour de ma première visite qui a suivi le séminaire, son attitude entière avait changé envers moi. Il était compatissant et je pourrais dire qu'il se sentais désolé pour ma souffrance. Il m’écriva « www.samento.com.ec » sur un bout de papier pour moi et me disa qu'il avait entendu au séminaire toutes les choses dont je lui avais parlé au sujet de la Lyme, mais les réalités étaient encore plus pire que ce que j’avais dit auparavant.

On est aujourd’ui le 4 mars 2004. En janvier 2004 mon docteur m'a parlé du site internet : www.samento.com.ec. J'ai commandé une bouteille de 220 mililitres et ai commencé à prendre des gouttes le 16 janvier 2004. 30 jours plus tard un vieil ami du Minnesota m'a envoyé une autre bouteille bleue me disant que cela pourrait être le remède pour ma maladie.

Huit jours après, j'ai commencé à remarquer que mes symptômes mentaux et émotionnels avaient commencé à diminuer. L'amélioration de mon état de santé en ce qui concerne mes problèmes mentaux était le plus notable grâce au Samento. Il semble que l’amélioration la plus radicale est apparu pendant les trois à quatre premières semaines après le début de la thérapie Samento. Maintenant la diminution de symptômes de la Lyme est plus lente, mais continue toujours vers la voie de la guérison. Je pense utiliser cette substance pendant encore une longue période de temps.

J'ai eu ce que je crois être trois réactions d’Herxheimer pendant cette période. Après analyse des résultats, j'étais près de la fin de la première semaine. J'ai triplé les doses de gouttes. D'abord je mettais des gouttes sous ma langue et j’en mettais aussi dans un verre d'eau pour boire. Je pense que c'était Ryan qui m’a dit que mettre des gouttes dans l’eau donnerait de meilleurs résultats. J'ai donc commencé à utiliser uniquement la technique "gouttes dans un verre d’eau"

Il y avait des temps où je prenais 7 à 10 gouttes 5 à 6 fois par jour. C'était trop! Cela a probablement intensifié la forte réaction d ‘Herxheimer et a aussi probablement été la cause de la perte de cette teinture précieuse. J’ai trop exagéré. Je ne me suis pas senti aussi mal depuis longtemps à ce que je me souvienne. Maintenant j'utilise 7 gouttes trois fois dans une période de 24 heures. Au milieu de la nuit une dose, une dose le tôt le matin et une dose l'après-midi quand mon estomac est vide.

Voici une liste partielle de mes symptômes et le degré d'amélioration que j'estime avoir ressenti  (mesuré en pourcentage).

Pourcentage des diminutions des symptômes  du 16 janvier 2004 au 4 mars 2004

Perte de mémoire------------------------------------------35 %

Hypothyroidisme-----------------------------------------50 % ou plus - (de 50 microgrammes Levocy par jour à 25 microgrammes)

Paralysie de la Cloche Bilatérale---------------------Aucun changement considérable

Insomnie----------------------------------------------------40 %

Dépression------------------------------------------------- 60 %

Paranoïa-----------------------------------------------------80%

Sursaut de panique---------------------------------------90 %

Agoraphobie-----------------------------------------------80 %

Anxiété------------------------------------------------------60 %

Fatigue chronique----------------------------------------45 %

Responsabilité émotionnelle--------------------------65 %

Pensées suicidaires---------------------------------------100 %

Douleurs ----------------------------------------------------30 %

Gardez s'il vous plaît à l'esprit qu'avoir été infecté aussi longtemps sans être diagnostiqué en tant qu’atteint de la maladie de Lyme a probablement augmenté les dégâts permanents dans quelques zones du système neurologique.Qui sait, si mon acuité mentale ou ma paralysie faciale s'amélioreront. Le sentiment qui me faisait penser qu’il y avait un poison dans mon sang : ce sentiment est désormais  complètement  parti.